Il y a ceux qui se cachent consciemment et confortablement derrière une souffrance, une « malchance ». Cela peut être confortable, un temps… Le danger est de s’installer dans cette posture durablement.
Dans les deux cas, ces justifications peuvent avoir une ou plusieurs utilités :
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Cacher une peur de s’exposer, d’échouer.
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Eviter de sortir de sa zone de confort.
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Se déresponsabiliser en transférant ses responsabilité sur les évènements ou sur les autres.
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Chercher à se sentir aimé.
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S’interdire d’être heureux.
Ce discours n’est pas anodin, ni pour soi, ni pour son entourage. L’image de soi que nous renvoyons est-elle bien celle souhaitée ? Cela peut valoir le coup d’examiner sa nature et le modifier. Une première question utile à se poser pourrait-être : « Pour de vrai, il se passe quoi exactement dans ma vie (sans le blabla que je me raconte) ? ».
Et si le bonheur était accessible à tous ?